Vers la société du contrôle total et de la surveillance permanente (partie 3)

Publié le par bbsky network

Les micro-puces

 

Les micro-puces sous-cutanées pour humains

Les puces sous-cutanées ont été, tout comme les bracelets à émetteurs radio, développées tout d'abord pour les animaux. Chose intéressante, elles ont été tout d'abord proposées, puis imposées (à l'heure actuelle, dans certains pays, le « puçage » de certains animaux est d'ailleurs devenu obligatoire). On a donc habitué le psychisme des gens, pendant quelques années, à ces puces sur les animaux.

 

Les puces sous-cutanées pour humains (qui sont elles aussi des puces RFID) existent depuis la fin des années 60. Développées au départ dans des buts médicaux, afin de reconnecter des nerfs moteurs endommagés, on découvrit cependant rapidement que selon la fréquence à laquelle elles étaient réglées, l'humeur de la personne changeait. Le témoignage de Carl W. Sanders, qui faisait partie de l'équipe qui développa cette puce, est très clair à ce sujet.


En réalité, selon la fréquence émise par la puce, les neurotransmetteurs (substances chimiques contenues dans le cerveau) réagissent d'une façon ou d'une autre, permettant l'augmentation ou la réduction de la production des hormones. Ainsi, si une personne produit davantage d'adrénaline, elle sera plus stressée, plus anxieuse, plus agressive. Si elle en produit moins, elle sera plus calme, plus apathique etc.


Ce point est extrêmement important, car il signifie qu'avec ces puces sous-cutanées, un CONTROLE DU COMPORTEMENT, et donc un certain CONTROLE MENTAL, est possible !!! Ceci constitue évidemment un danger absolument inacceptable (fin des libertés) et signifie qu'en cas d'implantation d'une de ces puces diaboliques, vous risquez de ne plus être tout à fait vous-même ni de contrôler entièrement toutes vos attitudes : on peut vous influencer de l'extérieur via des ondes bien précises ! Ceci est rendu possible, notamment, par les satellites et les antennes-relais.


Et cela va même plus loin : en réglant de façon précise la fréquence de la puce sous-cutanée, on peut parvenir à réduire fortement la production d'oestrogènes chez une femme, et empêcher qu'elle tombe enceinte. Cela signifie que la puce sous-cutanée permet aussi un CONTROLE DES NAISSANCES.

 

Les gouvernements - notamment des USA mais aussi les gouvernements européens - ont également demandé aux chercheurs qui ont mis au point la puce sous-cutanée pour humains qu'elle puisse servir de MOYEN D'IDENTIFICATION des individus. On a donc appliqué le principe des puces RFID, qui contiennent une petite mémoire dans laquelle on peut enregistrer toute une série d'informations en un seul dispositif : identité, adresse complète, numéro de sécurité sociale, empreintes digitales, date de naissance, plaque d'immatriculation... bref, autant d'informations que nécessaire !

 

Et on a même donné à cette puce sous-cutanée pour humains des POSSIBILITES FINANCIERES (la puce sous-cutanée agit comme une carte de banque). Nous avons vu au niveau des tags RFID que des cartes bancaires RFID commencent à être distribuées aux USA... Il semblerait bien que l'étape suivante, qui a été planifiée depuis belle lurette, soit une « carte de banque » implantée à l'intérieur du corps, et qui rassemble (= centralisation) toute une série de documents en un seul dispositif  ! Et à ce propos, rappelez-vous ce que nous avons dit plus haut au niveau des cartes d'identité électroniques : à terme, elles rassembleront toute une série de documents, et possèderont même des possibilités bancaires. Un « hasard », vous croyez ? Pas du tout ! On a amorcé, avec les cartes électroniques, un mouvement qui mène aux puces implantables !!!

 

La micro-puce sous-cutanée pour humains a été aussi créée dans d'autres buts qui pourraient vous paraître, à première vue, impossibles ou impensables : la création d'un gouvernement mondial et d'une seule devise mondiale ! Impossible ? Réfléchissez donc bien à notre situation actuelle : les pays ne prennent plus réellement les décisions importantes. Les décisions importantes se prennent au Parlement européen et à la Commission européenne, ou à l'OTAN, ou aux Nations Unies, ... bref dans des institutions supranationales. Nous avons donc déjà franchi les premières étapes qui mènent au gouvernement mondial unique ! Et au niveau des devises ? Et bien, c'est pareil : depuis quelques années, les devises nationales européennes n'ont-elles pas, pour la plupart, disparu au profit d'une devise unique : l'euro ?

 

Avec une puce sous-cutanée généralisée, l'ensemble des devises ne deviendrait plus que virtuel, et les gens ne paieraient plus qu'avec un moyen de paiement : leur puce sous-cutanée !

 

Cela vous semble toujours « tiré par les cheveux » ? Alors, il faut vraiment vous informer, parce que le mouvement a déjà commencé, doucement mais sûrement : une chaîne de nightclubs situés notamment à Barcelone et à Rotterdam, des nightclubs appelés « Baja Beach Club », proposent déjà à leurs bons clients de se faire « pucer » afin de pouvoir payer leurs consommations et d'avoir accès aux loges V.I.P. ! Tout ceci sous des prétextes de facilité, de modernité, de mode et de soi-disant « sécurité » (avec ce « portefeuille sous la peau, plus moyen de perdre votre argent ni de vous le faire voler »... à moins bien entendu que l'on ne vous coupe le bras, ce qui reste toujours une possibilité !)

 

Vous pourriez vous dire que la puce sous-cutanée pour humains n'est pas réalisable d'un point de vue technique, parce qu'il faut qu'elle soit alimentée par électricité et que l'on ne peut pas implanter quelqu'un puis lui retirer la puce quelques semaines plus tard afin de la recharger, puis réimplanter cette personne et ainsi de suite...

 

C'est aller un peu vite en besogne et oublier un détail important : la micro-puce sous-cutanée pour humains est une puce RFID. Or, il existe 2 types de RFID : les RFID passives (qui ne possèdent pas de batteries et qui ne s'activent que pour un très court moment lorsqu'un scanner est passé au-dessus d'elles), et les RFID actives.


A l'heure actuelle, les puces sous-cutanées passives pour humains sont déjà tout à fait opérationnelles. Lorsqu'elles sont scannées, elles ne renvoient qu'un numéro unique qui permet, lorsqu'on l'introduit sur un site web, d'avoir accès à une base de données (tiens donc !) ainsi qu'au dossier de la personne en question.

 

Les puces sous-cutanées actives pour humains ne sont plus un problème non plus au niveau du rechargement en énergie. Carl Sanders nous explique que, lors de la conception de la puce sous-cutanée, l'équipe s'était heurtée au problème de l'alimentation en énergie. Cependant, grâce à un système fonctionnant par thermoélectricité (électricité produite à partir de la chaleur), ils sont parvenus à contourner le problème. Après une étude qui coûta plus de $2,5 millions, ils découvrirent que le revers de la main et le front étaient les 2 endroits du corps qui changeaient le plus facilement de température. Ces petits changements de température étaient suffisants pour permettre à la pile minuscule de la puce sous-cutanée de se recharger automatiquement. Plus besoin donc de recharger la pile en l'extrayant du corps : elle se recharge seule, grâce aux légers changements de température de l'organisme !

 

Mais au fait, à quoi ressemble une puce sous-cutanée pour humains ? Et bien, il s'agit d'une minuscule capsule de verre de la taille d'un grain de riz et qui contient une puce RFID capable d'émettre, de recevoir et de stocker des données et des informations. En plus de la puce, on trouve aussi une antenne lovée sur elle-même. Cette puce est injectée à l'aide d'une seringue hypodermique et par anesthésie locale. Mais si l'on devait la retirer pour une raison ou une autre, il faudra recourir à une légère chirurgie qui vous laissera avec plusieurs points de suture !

 

Malgré l'aspect relativement « simple » d'une puce sous-cutanée, Carl Sanders (qui mit au point la première puce sous-cutanée pour humains) nous signale que la puce qu'il mit au point contenait plus de 250.000 pièces ! Ceci est en effet possible à l'aide de la nanotechnologie (voir plus loin la partie concernant les nanopuces).

 

La pile minuscule de la puce sous-cutanée est une pile au lithium, ce qui est très dangereux si la puce venait à se briser. Le lithium provoquerait en effet une grave infection.


En outre, la micro-puce peut migrer dans le corps, et se déplacer sous la peau. Ce risque est minimisé par une matière en polymères appelée « biobond » et qui recouvre la capsule de verre, mais le déplacement de la puce peut malgré tout se produire.

 

Nous avons déjà dit que les ondes des RFID peuvent endommager l'ADN et être dangereuses pour la santé. C'est déjà vrai pour les simples tags RFID, alors imaginez ce que cela peut donner si ce tag RFID est implanté directement sous la peau, dans l'organisme d'une personne ! De plus, la puce sous-cutanée, bien que présentée, entre autres, comme un « outil médical », n'est pas compatible avec l'imagerie par résonance magnétique (IRM). En effet, la puce contient des éléments métalliques. Or, un scanner IRM agit comme un aimant surpuissant. Le risque de blessure est donc réel. La micro-puce sous-cutanée représente donc aussi de sérieux DANGERS POUR LA SANTE.

 

Enfin, une micro-puce sous-cutanée active, possédant une pile, émet et reçoit en permanence des informations, à l'insu du porteur ! Cela permet, entre autres, de pouvoir géolocaliser, donc de pouvoir REPERER ET PISTER l'individu pucé, à tout moment et à toute heure, partout sur la planète !!! Grâce aux satellites, aux bases terrestres et aux antennes-relais. Un danger de plus, et qui signifie la fin de toute vie privée !

 

Où en est le développement de ces puces sous-cutanées pour humains ? A l'heure actuelle, quelques compagnies seulement distribuent ces puces sous-cutanées pour humains. Parmi ces compagnies, on trouve Trovan et sa puce ID100IH ( http://www.trovan.com/products100ih.htm ) ainsi que Verichip Corp. et sa « verichip »

 

(http://www.verichipcorp.com ). Mais ces deux compagnies sont déjà des multinationales, et de très nombreux pays sont déjà touchés par ce fléau. Ainsi, tout le continent américain est déjà atteint. Au Brésil et au Mexique, le programme « verikid » permet même de pucer les enfants (encore eux, les pauvres) afin qu'ils « ne se fassent pas kidnapper » ! Aux USA, une entreprise vient même d'obliger 2 de ses employés de se faire pucer afin d'avoir accès à une zone sécurisée !!! Les puces sous-cutanées utilisées jusqu'à présent sont des RFID passives, mais les prototypes des RFID actives ont déjà été développés. Pour le moment, les puces sont surtout implantées dans le bras, au niveau du triceps.

 

ET NOS PAYS D'EUROPE NE SONT PAS EPARGNES ! En effet, la puce sous-cutanée pour humains se trouve déjà en Espagne, aux Pays-Bas, en Suisse, en Italie, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Russie... Pire ! Le groupe d'étude de la commission européenne du « G29 », dans un rapport qu'il a remis à la Commission, reconnaît que certaines applications des puces implantables sous-cutanées, neurales et cérébrales, seraient intéressantes !!!


Et justement, parlons des applications prévues pour ces puces sous-cutanées et pour lesquelles les médias et les entreprises font de la publicité à grands renfort de propagande, et surtout aux USA.


Les applications prévues pour le puçage des humains concernent :

  • - Le puçage des gens pour l'accès aux zones de sécurité ou à des zones où sont stockées des valeurs importantes
  • - Le puçage des enfants contre les kidnappings
  • - Le puçage des personnes âgées dans les homes pour leur propre « sécurité »
  • - Le puçage des policiers dans la main afin de pouvoir utiliser leur arme dont la gâchette, munie d'un scanner, ne se débloquera qu'à l'approche de la main pucée de son propriétaire (application dite du « smartgun » ou « flingue intelligent »)
  • - Le puçage à des fins bancaires
  • - Le puçage afin de pister des gens qui se blesseraient et seraient amenés inconscients à l'hôpital, ce qui permettrait d'avoir accès à leurs données médicales même s'ils sont inconscients.
  • - Le puçage des gens dans des buts d'identification

La puce sous-cutanée est en outre présentée comme étant un moyen anti-fraude « infaillible », ce qui est tout à fait faux puisqu'un scientifique du nom de Jonathan Westhues, a récemment démontré que cette puce était piratable et faillible.


Au départ, le puçage a été présenté comme étant « volontaire » (donc comme provenant du libre choix des personnes), mais les choses sont déjà en train de changer !!!


En effet, Tommy Thompson, un ancien ministre des USA (quand on vous disait que le gouvernement était impliqué !) qui est devenu, par le plus malencontreux des « hasards », membre du conseil d'administration de Verichip Corp., a déposé un projet de loi qui permettrait que tous les citoyens des USA soient pucés ! Et une compagnie alliée de Verichip Corp. a obligé 2 de ses employés à se faire pucer pour pouvoir avoir accès à des zones sécurisées. Des plaintes de puçage obligatoire sont parvenues d'Arménie aussi. Bref, le risque de dérive est réel et terrible.

 

Quant aux nourrissons, pour lesquels on commence à utiliser des bracelets RFID (que l'on peut toujours retirer), des possibilités d'implantations dès la naissance en sous-cutané ont déjà été évoquées !


Face à la façon fourbe et « positive » dont cette puce est commercialisée et aux dangers immenses qu'elle représente pour la vie privée, les droits et les libertés, il est temps que la vérité soit connue, que les mensonges soient dissipés et que cette technologie immonde soit absolument combattue et INTERDITE ! Il s'agit non seulement d'une question de démocratie véritable, mais aussi d'une question d'éthique et qui concerne les Droits de l'Homme !


Une autre technologie concurrence et dépasse la puce sous-cutanée au niveau des dangers innommables qu'elle représente. Il s'agit de la technologie des puces neurales et cérébrales pour humains, que nous allons aborder à présent.

 

Les micro-puces neurales ou cérébrales

Le concept de micro-puce neurale ou cérébrale n'est pas neuf et date de plusieurs décennies, lui aussi. A nouveau, ce concept fut testé sur des animaux avant d'être mis à l'essai chez les humains.

 

Le fait de placer une micro-puce dans le corps d'un humain est déjà quelque chose qui, en soi, inspire de la méfiance et un sentiment de répulsion. Nous avons vu que la micro-puce sous-cutanée pour humains était déjà très dangereuse. Les puces neurales et cérébrales possèdent les mêmes possibilités que la puce sous-cutanée et permettent donc de pister l'individu, de le contrôler, de le surveiller. Et elles permettent aussi d'aller encore plus loin, comme nous allons le voir.

 

A présent, imaginez une micro-puce plantée dans un nerf ou dans le cerveau, car c'est bien de cela dont il s'agit. Cela signifie tout d'abord que si l'on implante ce type de puce, le retirer requiert un neurochirurgien et une opération lourde. De plus, il s'agit d'une manoeuvre extrêmement délicate et dangereuse, voire mortelle ! Coupez dans un nerf, et une personne peut perdre (totalement ou partiellement) l'usage d'un bras, d'une jambe, d'un oeil... Coupez dans le cerveau, et la personne peut être paralysée, perdre des fonctions importantes ou même la vie ! Touchez à la moelle épinière, et les conséquences seront irréversibles ou mortelles.

 

Autrement, dit, une puce neurale ou cérébrale placée dans l'individu signifie que l'extraction de cette puce est extrêmement risquée, voire impossible !

Ce qu'il faut surtout voir, c'est l'esprit dans lequel ces puces ont été développées. Car, comme d'habitude, la propagande des médias vous servira sur un plateau toute une série d'arguments plus « humanistes » et « convaincants » les uns que les autres, mais en occultant le revers de la médaille et les aspects négatifs qui, dans ce cas précis, sont absolument inhumains, odieux, catastrophiques et intolérables !!!

 

Le Pr. José Delgado, qui a inventé dans les années 1960 le « Stimoceiver », l'un des premiers implants cérébraux de contrôle, est notamment célèbre pour avoir réussi à donner l'ordre de stopper net, à l'aide d'une télécommande, à un taureau lancé en pleine course lors d'une corrida et auquel une puce cérébrale avait été implantée.
Ce même Pr. Delgado a dit : " Nous avons besoin d'un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l'esprit. Chacun qui dévie de la norme donnée peut être chirurgicalement mutilé.
L'individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c'est seulement son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est très séduisante, ceci manque de perspective historique. L'homme n'a pas le droit de développer sa propre façon de penser. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau."

 

Le but est donc clair et ne prête à aucune confusion : c'est bien de contrôle des populations dont il s'agit, du contrôle TOTAL des individus et de leur esprit, et de la création d'une société TOTALITAIRE dans laquelle toute attitude sera surveillée, contrôlée et imposée selon la volonté du pouvoir en place !


A présent, voyons voir où l'on en est aujourd'hui, quels sont les prétextes invoqués, les buts avoués, les non-dits et les dangers par rapport à ces puces neurales ou cérébrales.

 

Tout d'abord, les expérimentations sur les animaux se poursuivent, et sont suivies très rapidement par des expérimentations sur les humains.


Le prétexte principal qui est invoqué est un argument médico-humaniste, et qui est donc très difficile à combattre. On a proposé l'expérimentation de ces puces neurales et cérébrales, essentiellement aux USA, dans des champs d'investigation liés à la médecine, et surtout concernant des patients lourdement handicapés ou atteints de maladies graves. Au départ, on a proposé ces puces pour ralentir les effets de la maladie d'Alzheimer ou pour calmer les tremblements liés à la maladie de Parkinson. C'est d'ailleurs en France que l'on a commencé ce genre d'expérimentation ! Remarquez bien qu'il ne s'agit pas d'un moyen de SOIGNER la maladie, mais simplement d'en atténuer les effets indésirables !

 

Parmi les entreprises qui commercialisent ce genre de système de puce cérébrale, on peut par exemple citer la société américaine Cyberkinetics, avec ses deux immondes systèmes de puce et de stimulateur cérébraux, le BrainGate et le NeuroPort, dont l'un devrait être commercialisé cette année !

 

On a vite intégré d'autres types de malades. On a ainsi développé des systèmes qui permettraient à un aveugle, à partir de ces puces neurales et cérébrales couplées à un appareillage électronique complexe, de recouvrer la vue, ou du moins une « vue électronique ». On est en train en ce moment de tester des systèmes qui, à l'aide de puces neurales, permettent de connecter les nerfs d'un amputé à un membre cybernétique, ce qui lui permet de retrouver une certaine autonomie... Ce n'est plus de la science-fiction, c'est ce qui est en train d'être expérimenté, en ce moment !

 

A présent, on a commencé à s'occuper d'un autre type de patient : les dépressifs profonds et autres maniaco-dépressifs ! Ces gens qui, comme le souligne une étude américaine, ne sont plus productifs pour la société, sont très mal dans leur peau et souvent au bord du suicide. Il a été démontré qu'une puce implantée dans leur cerveau et émettant des ondes à certaines fréquences ainsi que des impulsions électriques permettait de rendre un certain pourcentage de ces dépressifs plus « heureux », d'équilibrer le taux de leurs hormones (et nous savons que les hormones ont un impact sur l'humeur de la personne - le taux de sérotonine joue sur l'humeur, par exemple) ainsi que de les réinsérer dans la vie sociale et (surtout) dans la vie active, ce qui améliore l'économie et la rentabilité du Système . Nous avons vu que la modification du comportement est déjà possible avec les puces sous-cutanées. Ici, l'effet est encore renforcé, puisque c'est directement sur le cerveau ou les nerfs que l'on agit. Déjà ici, les arguments ont tendance à sortir de l'éthique et de la moralité. Mais ce n'est qu'un début.


D'autres applications des puces neurales et cérébrales sont développées en ce moment. Il s'agit d'applications qui visent non plus le traitement médical en soi, mais la soi-disant « AMELIORATION DES CAPACITES HUMAINES » ! Par exemple, l'odieux « brain machine interface program » (programme d'interface machine-cerveau) financé par la DARPA (une agence du ministère de la défense américain qui s'occupe des avancées technologiques de pointe) a permis à des amputés ou à des paralysés de se servir d'une puce implantée dans leur cerveau et appelée M.M.E.A. (multiple micro electrode array ou batterie multiple de micro électrodes) afin de diriger leur fauteuil électrique ou d'envoyer un e-mail par la seule force de la pensée, la puce jouant un peu le rôle de « télécommande » entre l'individu et la machine. Mais soyons réalistes : le véritable but de la DARPA (une agence militaire, rappelons-le) n'est pas de guérir les paralytiques ni de rendre la santé aux malades ! D'ailleurs, dans certains projets de cette agence, on hésite pas à dire que l'on souhaite améliorer les soldats afin qu'ils ne deviennent pas le maillon faible sur les champs de bataille du futur !


Ceci est tellement vrai que de récents articles faisaient écho des projets de l'armée américaine d'implanter certains soldats avec des puces cérébrales ! Les puces en question court-circuiteraient ou remplaceraient carrément l'hippocampe, une partie du cerveau qui sert à FIXER LES SOUVENIRS. Le prétexte invoqué cette fois était que grâce à ces puces, les soldats se souviendraient parfaitement de tout leur entraînement et de leurs ordres de mission ! Mais on peut très bien percevoir un autre avantage, bien plus inhumain, d'avoir des soldats qui ne seraient plus capables de fixer les souvenirs : ils ne se souviendraient plus des horreurs du champ de bataille, quelles qu'elles soient ! Pratique pour les gens qui dirigent les troupes, puisque l'on évite ainsi aux soldats des traumatismes psychologiques trop importants, et donc on conserve les soldats plus longtemps, avec moins de problèmes liés aux soucis de santé psychologique, à la désertion, à l'enrôlement et au recrutement. On pourrait donc faire commettre les pires barbaries aux soldats sans que ceux-ci en aient le souvenir ! Immonde !

 

Certaines puces possèdent aussi des capacités de stockage de données (puces de mémoire). Certains étudiants universitaires français, ignorant tout des dangers de ce genre de puce, ont d'ailleurs déclaré qu'ils étaient prêts à se faire implanter dans le cerveau une puce de mémoire afin de mémoriser, de stocker et de pouvoir restituer la matière de leurs cours plus facilement ! Ils n'étaient certainement pas au courant des dangers de ce genre de puce, sans quoi ils n'auraient pas proposé une telle idée !

 

Dans les cas dont nous venons de parler, le but n'est plus de soigner ni de guérir, mais de TRANSFORMER L'INDIVIDU afin d'en agrandir les capacités et les pouvoirs (le cyborg n'est plus tr ès loin). Bref, on veut soi-disant en faire un « surhomme ». Comme nous pouvons le voir le vieux mythe nazi de l'Ubermensch (surhomme) n'a jamais été aussi vivace ! Mais nous allons voir que derrière toutes ces intentions complètement folles se cache un danger plus grand que tous les autres.

 

Les puces cérébrales telles que la M.M.E.A. permettent à l'individu d'agir sur l'extérieur (exemple : le tétraplégique qui, via cette puce cérébrale, envoie un e-mail sur un ordinateur spécialement adapté et par la seule force de la pensée). Mais ce que l'on cache jusqu'à présent, c'est que l'inverse est vrai également : cette puce cérébrale permet à l'extérieur d'agir directement sur l'individu !


Comment cela est-ce possible et comment cela fonctionne-t-il ?


Les scientifiques qui ont testé cette puce ont remarqué que chaque mouvement que nous faisions, ainsi que chaque émotion, possède une forme d'onde précise avec une fréquence particulière. L'individu pucé, relié à un ordinateur, pensait, se concentrait ou effectuait des gestes, et à l'aide de machines (électroencéphalogramme, ordinateurs etc.), on pouvait percevoir le schéma des ondes qui correspondaient à chaque geste et chaque émotion. Petit à petit, les scientifiques ont enregistré toute une série de ces schémas d'ondes sur ordinateur et ont ainsi constitué une base de données s'y rapportant.

 

Via la puce cérébrale, qui sert comme émetteur mais aussi comme récepteur, l'individu peut envoyer un ordre à une machine. Mais l'inverse est vrai aussi : en ayant repéré un individu pucé, une personne qui, étant en, possession de moyens de communication avancés ainsi que de la base de données correspondant aux schémas émotionnels ou gestuels de l'individu, pourrait par exemple fort bien envoyer le schéma d'ondes et de fréquence correspondant à l'angoisse par satellite. Le satellite envoie ensuite le schéma d'ondes aux bases terrestres et aux antennes-relais proches du lieu où l'individu pucé se trouve ou, mieux encore, le satellite repère directement l'individu et envoie le schéma d'ondes à cet endroit. La puce implantée dans le cerveau de l'individu, qui fonctionne comme un émetteur mais aussi comme un récepteur, capte le schéma d'ondes de l'émotion « angoisse » et le retransmet au cerveau, au nerfs... et l'individu commence à angoisser ! On pourrait faire de même en transmettant le schéma d'ondes correspondant au mouvement « lever la jambe », et l'individu, commandé à distance, lèverait la jambe !

 

On peut même faire pire, car les scientifiques savent, via la puce cérébrale, exciter le centre du plaisir ou le centre de la douleur à distance ! Avec la puce cérébrale, on pourrait donc même provoquer une violente douleur à distance chez les individus !

 

Imaginez ce genre d'arme entre les mains d'un gouvernement ! Imaginez le terrible pouvoir que les autorités pourraient exercer sur un individu ! Tout individu pourrait être totalement pisté et contrôlé, dans ce qu'il ressent comme dans ce qu'il fait ! Contrôle du corps et de l'esprit ! Et imaginez surtout ce qu'un gouvernement pourrait entreprendre contre les activistes, protestataires, manifestants, ou contre tout citoyen qui déroge à la moindre règle (même injuste) du système !


Voilà le terrible risque que les puces neurales et cérébrales représentent, et voilà aussi les raisons pour lesquelles nous ne pouvons pas laisser ce genre de technologie se développer !

 

Vous pensez que cela n'arrivera jamais chez nous ? Vous vous trompez ! D'ailleurs, dans son rapport sur les « implants TIC » (dont font partie les puces sous-cutanées et les puces neurales et cérébrales), le comité d'éthique travaillant pour la Commission européenne a reconnu « l'utilité » de certaines de ces puces, y compris neurales et cérébrales ! Il est donc dans l'intérêt de tous de réagir contre ces implants, et vite !

 

Les puces à ADN ou puces génétiques


Autre type de puce, autres risques. Une fois de plus, nous nous trouvons devant une innovation technologique présentée par les médias comme un « progrès médical ».


En effet, les puces à ADN ou puces génétiques, également appelées « puces-laboratoires » (lab on a chip) permettent, via toute une série de capteurs et de réactifs, d'analyser un échantillon de l'ADN d'une personne. Ces puces, qui sont minuscules, permettent de remplacer tout un laboratoire compliqué (et les personnes qui y travaillent aussi, d'où une menace, directe ou indirecte, pour l'emploi).

 

Elles permettent de repérer si l'individu est malade ou est prédisposé à être atteint d'une maladie ou d'une allergie particulière. Et de plus, là où les analyses génétiques mettent plusieurs jours, voire des semaines avant de livrer leurs résultats, les puces permettent de connaître de façon fiable les résultats bien plus rapidement !

 

Il s'agit ici, bien entendu, des applications positives que les médias nous présentent sans le moindre esprit critique.

 

Pourtant, il existe à nouveau de sérieux risques liés à ces puces-laboratoires. A l'heure où des bases de données d'ADN sont en train de se constituer, nous sommes en droit de nous faire du soucis quant à l'utilisation que l'on pourrait faire des résultats des analyses de l'ADN.


Au Royaume-Uni par exemple, une base de données ADN de milliers de jeunes et même de mineurs d'âge a été constituée. Il ne s'agit pas de criminels ni de délinquants, mais la base de données existe !

 

Avec ces bases de données d'ADN et les faiblesses que la puce-laboratoire révèle par rapport à l'individu, l'Etat possèderait une arme potentielle contre celui-ci.

 

Mais l'Etat n'est pas le seul danger. Sur base de ces prédispositions aux maladies et aux allergies, on pourrait refuser un emploi à une personne, voire un prêt. On pourrait aussi refuser une assurance, ou faire payer cette personne plus cher pour une assurance. Au Royaume-Uni, les assureurs commencent d'ailleurs à s'intéresser à ce genre de chose. Le risque est donc bien réel.

 

Le dépistage de maladies par l'analyse de l'ADN peut donc très vite se muer en un facteur de discrimination supplémentaire, basé sur les faiblesses génétiques. Or, les puces à ADN vont permettre une augmentation du nombre de ces analyses, à un moindre coût et avec des résultats qui seront connus rapidement.

Les nanopuces

Avec la nanotechnologie, la miniaturisation va devenir un des autres risques majeurs de toutes ces puces malfaisantes. A l'heure actuelle, les plus petites puces se mesurent en... nanomètres (des millionièmes de millimètre), soit à l'échelle moléculaire. Ainsi, les sociétés japonaises Sony, Toshiba et NEC Electronics se sont associées dernièrement pour développer des puces de 45 nanomètres.


Intel, premier fabricant mondial de semi-conducteurs, avait déjà annoncé en décembre 2005 la construction d'une usine de puces de 45 nanomètres en Israël, un projet évalué à plus de 3,5 milliards de dollars (2,97 milliards d'euros).


Avec une taille si réduite, les « puces » en question ne sont plus que des amas de molécules, mais surtout, elles deviennent invisibles à l'oeil nu et tout à fait imperceptibles pour l'individu. Leur usage peut donc être aussi dangereux que sournois.

 

Une nanopuce pourrait être avalée, inhalée ou même se glisser dans les pores de la peau d'un individu, à son indu et sans son consentement ! Et ce genre de dispositif, en raison de sa taille infinitésimale, n'est pas repérable !


Bien sûr, la nanotechnologie n'en est encore qu'à ses balbutiements mais, déjà, des dangers terribles et des problèmes éthiques aigus se posent.

 

Les possibilités des nanopuces sont encore relativement limitées, mais cela ne durera pas longtemps. En outre, on a déjà pensé aux nanopuces d'identification, et des applications MILITAIRES ont déjà été testées dans ce sens ! On a aussi commencé à créer des RESEAUX de nanopuces qui communiquent entre elles. C'est le cas, par exemple, du système Smart Dust (« poussière intelligente »). On a bien sûr parlé d'applications médicales des nanoparticules. Ainsi, une nanoparticule pourrait être programmée pour repérer les cellules cancéreuses et pour les éliminer. Ce que l'on dit moins, c'est que ces nanoparticules pourraient très bien servir d'armes, en étant programmées pour détruire les cellules ou en les « détraquant » au lieu de les soigner !

Fin de la partie 3.

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
R
<br /> les nanopuces neurales permettent un transfert des cerveaux, une personne peut ainsi connecter sa puce neurale à celle d'une autre personne,ce sont ces jeux qu'exploitent les réseaux mafieux et<br /> criminels.ils font le transfert de leurs vices et de leur démence pour nous enfermer dans leurs bordels électroniques et la plus effroyable des dictatures, un viol terrifiant de tout notre corps.<br /> <br /> <br />
Répondre